Nos Filleules

Vanacom vous présente vos filleules :)


Kalisweai : 13 ans

Elle a 2 frères. le frère aîné s'occupe d'elle. Elle n'a plus sa mère.

Ils vivent dans une toute petite maison en terre.

-Parrainée par Mirella Larguèze

Alugurani : 13 ans

Elle a encore ses parents. Ils étaient extrêmement touchés de notre aide

-Parrainée par Alexandre et Virginie Lewicki

Yogeshwari : 10 ans

Elle a encore ses parents et 3 frères. Père agriculteur, dévoué dans le village. Il s'occupe des familles voisines aussi.

-Parrainée par Martin Ratinaud et Perrine Rochette

Pakiya Lakshmi : 11 ans

Elle n'a plus que sa maman. Son unique frère s'occupe aussi bien d'elle.

-Parrainée par Romain Laffoucrière

Archana : 14 ans

Eduqués par ses parents et sa grand mère. Son père travaille dans les champs.

-Parrainée par Emilie et Steeve Morin

Kaveriselvi : 3 ans

Mère très jeune, sous l'autorité du père alcoolique.

Petite fille très peureuse.

-Parrainée par Laura Vittori.



Kaverinathiya : 8 ans

Eduqués par ses parents. Elle a aussi 2 frères, dont un bébé. Son père travaille dans les champs

-Parrainée par Sylvie Fumière




Gayathri : 5 ans

Famille très pauvre, son père travaille dans une usine. Elle a une soeur. Grosse difficulté pour une famille indienne d'avoir 2 filles.

-Parrainée par Marie-André Agostini




Josephin : 9 ans

Village de Keelaraumboor

Son père travaille dans les champs.

-Parrainée par Cathy Denis




Jesintha : 10 ans

Village de Keelaraumboor

Son père est agriculteur. Elle veut travailler dans l'administration.

-Parrainée par Patrick et Laurence Rocher





Arokayavijtha : 9 ans

Village de Keelaraumboor

Son père est agriculteur. Elle n'a plus sa maman. Elle a un frère.

-Parrainée par Patrick et Laurence Rocher






Mariashalini : 11 ans

Village de Mangalam

Son père travaille dans les champs. Sa maman s'occupe d'elle.

Elle veut devenir docteur.

-Parrainée par Alexandra et Julia Denis



Anitha : 6 ans

Village de Icadaa Amboor

Son père est agriculteur. Sa maman s'occupe des enfants. Elle a un frère.

-Parrainée par Raphaël Kahlmann


Maria Sine Ravi : 17 ans
(photo à venir)
Vit à Madurai
Elle veut devenir infirmière. Fait des études à l'université pour cela.
Elle vit dans un foyer pour étudiantes, loin de ses parents et doit s'assumer seule.
-Parrainée par Nicolas Richard et Frederic Loubes.


Vijalakshmi : 10 ans
Vit dans le village de Chinnoudappu.
Sa maman est morte. Son papa est parti vivre avec une autre femme. Elle est élevée par sa tante (33 ans), qui souhaite se marier et fonder sa propre famille.
Elle souhaite être docteur.
-Parrainée par Martin Ufnalewski.



Sathiya Priya : 13 ans
Vit dans le village de Chinnewelappu
Elle n'a plus ses parents. Elle est élevée par sa tante.
Elle veut devenir professeur d'école.
-Parrainée par Julien Pavoni


Aruna : 13 ans

Son père a quitté la maison. Elle est élevée par sa maman.
Elle veut être professeur d'école.
-Parrainée par Elisa Tricard




Kathiga : 11 ans
Village de Krishnapuram
Sa maman s'occupe d'elle. Son papa est décédé.
Elle n'a pas d'électricité et vit dans une toute petite pièce, avec son frère et sa mère.
(Absente au moment de notre visite car en voyage de classe).
-Parrainée par Barbara Fesquet et Karim Hassaouan



Kamachi : 10 ans

Village de Krishnapuram

Ses parents travaillents aux champs. Elle a 3 soeurs, situation très difficile pour les parents.

Elle veut devenir professeur d'école.
-Parrainée par Hélène et Marie


Photos et détails à venir pour ces 4 petites filles, que nous n'avons pas pu rencontrer mais à qui nous avons parlé par téléphone :

Vimla : 13 ans
-Parrainée par Florent Bleicher

Espipa : 12 ans
-Parrainée par Julie Lecompte

Rajalakshmi : 13 ans
-Parrainée par Gérald Forhan

Mariammal : 12 ans
-Parrainée par Bérangère Musy

Notre soutien à l'oprhelinat de Pondichéry

Merci aussi à tous les donateurs pour l'orphelinat de Pondichéry, que nous soutenons aussi depuis 4 ans:
Ma Manou, Raphaël Kahlmann, Guillaume Lesaint, Karine Morin et Alain & Sylvaine.

Toute notre admiration à Alice Thomas et son mari pour le don total de soi dont ils font preuve tous les jours depuis une vingtaine d'années.
Ils récupèrent chaque année des enfants des rues de Pondichéry.
Les seules conditions pour entrer à l'orphelinat :
-L'enfant n'a personne qui s'occupe correctement de lui
-Il s'engage à rester dans l'orphelinat jusqu'à ses 18 ans, la fin de ses études.
Au sein de l'orphelinant, les enfants apprennent l'hygiène, la solidarité entre eux (les plus grands s'occupant des plus petits), les valeurs de la démocratie indienne, le dessin et la musique. Ils sont aujourd'hui 120 enfants à vivre dans un bâtiment de 2 étages: Le RDC est le réfectoire et la salle de classe couverte, le 1er et le 2nd étages sont les dortoirs. Des salles de classe sous préau sont construites depuis peu dans le jardin. Les douches sont dehors et les toilettes dans un bâtiment séparé. Un bureau sert aussi de "studio" musique.
Ils ont des cours du soir par des jeunes embauchés par l'orphelinat. Alice est présente tous les jours pour les éduquer.
Les bénévoles sont les bienvenus au sein de l'orphelinat pour apporter leur aide en tout genre.
Un second orphelinat vient de voir le jour, dédié aux filles cette fois, avec 12 petites.

Du bonheur en photo:

Merci à tous pour votre soutien!!

En Juillet, l'assocation Vanacom a reçu une fantastique aide de la part de tous ses amis, et a réussi à parrainer 24 petites filles intouchables de la région de Madurai, et à soutenir en parrallèle un orphelinat à Pondichéry.

Nous nous sommes rendus sur place, afin de leur apporter en mains propres vos dons et de toutes les rencontrer. Ce fut de merveilleux instants. Nous avons toujours été accueillis avec beaucoup d'émotion et de joie, beaucoup de respect aussi et d'affection. Je tiens à vous en parler car tout ceci vous était destiné.

Ces jeunes filles vivent dans les villages aux alentours de la ville de Madurai.
Elles ont toutes été "choisies" par Sebastian, qui vit sur place et les cotoie toutes les semaines. Elles vivent toutes dans un niveau de pauvreté très important, qu'elles possèdent encore leurs parents ou non.

Vous pourrez les découvrir ci-dessus.
La langue est une barrière difficile pour l'échange, même si elles parlent quelques mots d'anglais.
Nous avons principalement communiqué directement avec elles par le language du sourire et des signes, mais Sebastian a expliqué à chacune d'elles et aux tuteurs l'importance de respecter l'engagement de destiner l'argent donné à l'éducation des filles.

Si vous souhaitez plus de renseignements, n'hésitez pas à m'écrire!